Author: Luc Pochon

Employeur: comment embaucher un pilote de drone?

Employeur: comment embaucher
un pilote de drone?

Vous êtes employeur et vous cherchez à recruter un pilote de drone ou à former l’un de vos employés ? Les démarches à faire sont nombreuses. Pour être en règle, suivez cet article où nous vous expliquons toutes les étapes à suivre.

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L’employeur aura besoin de:

  • Faire une déclaration d’activité particulière
  • Rédiger un Manuel d’Activité Particulière
  • Mettre en place un système de retour d’expérience
  • Rédiger un bilan d’activité particulière
  • Faire une déclaration d’activité de photographie et de cinématographie aérienne
  • Obtenir une assurance responsabilité civile spécifique drone
  • S’assurer d’avoir une attestation de conception type lorsque cela est nécessaire
  • S’assurer du niveau pratique et théorique des pilotes de drone

L’employeur doit faire une déclaration d’activité particulière

Pour toute activité particulière (qui n’est pas du loisir), un employeur doit faire une déclaration d’activité auprès de la DSAC (Direction de la sécurité de l’aviation civile), pour cela vous devrez remplir un formulaire et l’adresser a la DSAC de votre région. Vous trouverez le formulaire de déclaration d’activité particulière ci-joint.

Dans ce formulaire, vous informerez l’identité de l’exploitant, des scénarios de vol que vous prévoyez d’utiliser, du drone que vous piloterez… À savoir, une déclaration d’activité est valable 24 mois, vous devez alors la renouveler tous les 2 ans. Vous devrez également faire une nouvelle déclaration à chaque modification. Par exemple si vous avez un nouveau drone ou que vous pilotez sur d’autres scénarios.

 

L’employeur doit rédiger un MAP (Manuel d’Activité Particulière)

Un MAP est un document que les pilotes doivent avoir sur eux lors de leurs missions de pilotage car il peut être demandé en cas de contrôle. Il permet d’exposer le cadre dans lequel vous ou vos employés formés allez évoluer pour réaliser vos missions.Les télépilotes se référeront à ce document pour procéder à ses missions de pilotage.

Votre MAP doit contenir:

  • Une description de l’organisation de l’exploitant
  • Une liste des employés autorisés à piloter
  • Une description des activités particulières de l’entreprise
  • Une liste des scénarios réalisable
  • Une description de la procédure générale de vol, de préparation au vol et de la protection des tiers.
  • Une liste des aéronefs utilisables avec une description (limitation, performance, procédure normale et d’urgence)
  • Une description du processus de compte rendu, d’analyse et de suivi d’évènement.

Vous trouverez le canevas type mis en place par la DGAC pour vous aider à rédiger votre MAP.

 

L’employeur doit mettre en place un système de retour d’expérience

Le retour d’expérience est un élément mis en place pour améliorer la sécurité aérienne. L’employeur doit mettre en place un système d’analyse de pilotage défaillant pour ensuite en faire part à la DSAC. Chaque situation qui a mis en jeu la sécurité des tiers doit être analysée. En cas de défaillance technique, l’exploitant doit également informer le constructeur.

Vous trouverez le formulaire de compte rendu d’évènement ci-joint.

 

L’employeur doit rédiger un bilan annuel d’activité

L’employeur doit rédiger chaque année un bilan du nombre d’heures de pilotage effectué par domaine d’activité et par scénario de vol. Il doit également parler des problèmes de sécurité que les pilotes ont rencontrés et des mesures qui ont été mises en place pour y remédier.

Vous trouverez le formulaire de bilan annuel ci-joint.

 

Faire une déclaration d’activité de photographie et de cinématographie aérienne

Vous devez adresser à la DSAC une déclaration d’activité de photographie et de cinématographie s’il s’agit d’une prise d’image en zone sensible ou des données hors du spectre visible (utilisation d’une caméra infrarouge par exemple). Une autorisation préalable est ensuite nécessaire à chaque mission.

Vous trouverez la notice de déclaration d’activité de photographie et de cinématographie aérienne ci-joint.

 

L’employeur doit obtenir une assurance responsabilité civile spécifique aux drones

Vous aurez biensur besoin d’une assurance responsabilité civile dite « standard » mais également une spécialement pour le pilotage de drone pour pouvoir être couvert en cas d’imprévu. Par exemple, vous vous protègerez de la responsabilité civile du pilote, de la casse du drone et du matériel, du vol, de la perte d’exploitation et de la cybersécurité. Elle n’est pas obligatoire pour un pilotage de loisir, mais en cas d’utilisation commerciale il est obligatoire de souscrire à une assurance. Vous trouverez plus d’information sur notre article dédié aux assurances pour les pilotes de drones professionnels.

 

L’employeur doit s’assurer d’avoir une attestation de conception type lorsque cela est nécessaire

Dans certaines situations, il est obligatoire d’avoir une attestation de conception type qui déclarera votre drone apte à un certain type de mission. Je vous renvoie sur l’article « attestation de conception type » pour savoir lorsqu’il est nécessaire de l’avoir et pour savoir comment l’obtenir.

Si vous n’avez pas besoin d’une attestation de conception type, vous devrez quand même vous assurer de la conformité des aéronefs. Pour cela, vous devez rédiger un manuel d’entretien et un manuel d’utilisation pour chaque drone.

Vous trouverez un modèle type pour la rédaction des deux manuels sur le site du gouvernement dans la rubrique Démarches et formulaire > Démarches relatives à l’aéronerf

 

L’employeur doit s’assurer du niveau pratique et théorique des pilotes de drone

Bien évidemment, l’employeur doit s’assurer que ses pilotes ont les compétences et sont en règle. Les pilotes de drone doivent avoir fait une DNC (Déclaration de niveau de compétence) et avoir validé la théorie ULM. Ce sont les deux conditions pour pouvoir être pilote de drone professionnel. Je vous renvoie sur l’article « Comment devenir pilote de drone professionnel ».

Vous avez maintenant toutes les informations nécessaires pour embaucher ou former un pilote au sein de votre entreprise. Pour toute information complémentaire, n’hésitez pas à nous contacter dans l’espace de commentaire en bas de l’article.

Géoportail: La carte interactive pour savoir ou piloter

Géoportail: La carte interactive
pour savoir ou piloter

Géoportail informe sur les zones de survols interdites par les drones de loisirs ?

 

Le pilotage de drone de loisir est soumis à une réglementation stricte, c’est pourquoi de nombreux lieux sont interdits et il est parfois compliqué de savoir quelles zones sont autorisées. Cependant depuis 2016, la DGAC a mis à disposition des télé-pilotes de drone de loisir une carte interactive appelée Geoportail . Cette carte indique les limites d’altitudes qu’un drone de loisir peut atteindre selon les risques de la zone de survol car beaucoup de pilotes amateurs pilotent involontairement dans des zones interdites

 

Un drone de loisir doit respecter l’une de ces 6 limites de hauteur:

 

Rouge : vol interdit

● Rose : 30m

● Orange foncé : 50m

● Orange clair : 60m

● Jaune : 100m

● Aucune couleur : 150m

geoportail drone réglementation legislation drone loisir pilote

 

Les zones les plus restreintes seront en rouge sur Géoportail, il est donc interdit de piloter dans ces zones:

 

● Les agglomérations

● Les centrales nucléaires

● Les bases militaires

● Les couloirs aériens

● Les sites protégés

 

Les prochaines améliorations de Géoportail

Malgré une utilité incontestable, cette carte interactive qui est l’initiative de la DGAC possède encore quelques points faibles. La DGAC prévoit quelques modifications:

● Améliorer la lisibilité de la carte (différentiation des couleurs)

● Préciser le contour des agglomérations

● Signaler les parcs publics comme des zones interdites

● Intégrer les cartes des départements d’outre-mer

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BTP : Le drone épaule les ouvriers sur les chantiers

BTP : Le drone épaule
les ouvriers sur les chantiers

Quand les drones rencontrent les ouvriers du BTP

Le gain de temps, d’argent, de précision et de sécurité, voilà ce que le drone apporte lors de son utilisation sur les chantiers du BTP. Pour intervenir sur des zones inaccessibles pour les ouvriers, car trop dangereuses.

 

Le drone : un outil de performance…

La récolte d’information est devenue plus facile avec un drone. De la prise de cote à la cartographie pour mesurer le dénivelé d’une pente en passant par de la prise de vue thermique. Mais également de la simple prise de vue pour observer l’avancement d’un chantier. Une modélisation 3D d’un chantier est également réalisable grâce à un drone.

La topographie consiste à représenter graphiquement les reliefs, les distances et les volumes d’une zone souhaitée grâce à la photogrammétrie (définition à la fin de l’article). Par exemple, grâce à cette technique de mesure par drone, un pilote de drone peut mesurer le volume d’un monticule de terre sur un chantier du BTP ou s’assurer du respect de la distance minimale obligatoire entre une ligne électrique et la végétation environnante. Ces deux exemples illustrent parfaitement la multitude d’application que la topographie par drone effectuer.

topographie BTP chantier pilote drone professionnel

 

La thermographie est une technique qui, grâce à l’aide d’une caméra thermique, permet d’analyser les infrarouges d’un bâtiment. Il est donc possible d’ observer les déperditions thermiques des bâtiments. La thermographie aérienne via les drones a très vite séduit les professionnels du bâtiment. Les techniques de thermographie avant l’apparition des drones n’étaient pas très adaptées. Une caméra thermique installée sur un avion ou un hélicoptère engendre des coûts colossaux et l’utilisation d’une caméra portative au sol offre un résultat beaucoup moins précis.

hermographie chantier BTP pilote drone professionnel

Le suivi de chantier par drone permet d’avoir une vision globale et détaillée du chantier. Une analyse dans le temps de l’avancement des travaux permet aux professionnels de présenter le projet aux clients avec précision. Il peut également observer si la planification des travaux a bien été respectée. Le suivi de chantier peut être fait à partir de simples images prises par le drone, mais également avec un modèle 3D si une photogrammétrie a eu lieu.

… et de protection des chantiers BTP

Le potentiel du drone a été rapidement compris dans le secteur du BTP pour améliorer le développement des chantiers. Il est également utilisé pour les protéger des vols de matériaux comme le cuivre ou la dégradation. En 2013, la SNCF a investi dans cette technologie pour pouvoir surveiller le réseau ferroviaire et déceler les actes de malveillances grâce aux nombreuses prises de vues aériennes. Le vol de matériaux coûte à la SNCF des dizaines de millions d’euros chaque année. Cependant, ils sont très limités par la réglementation mise en place par la DGAC.

https://www.youtube.com/watch?v=-tk8itDrjvc

D’après la société « En Toute Sécurité » la surveillance et la sécurité seront le deuxième usage du drone le plus utilisé d’ici 2020. On estime que son application passera à 20% en 2020. Tandis qu’en 2014, 5% des applications du drone professionnel étaient réservé à la sécurité.

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Source de l’image : http://www.faceaurisque.com/index.php/Accueil/Maitrise-des-risques/Dossiers/Drones/Drones-de-securite-un-marche-tres-prometteur

Définition

La photogrammétrie est le processus qui permet de transformer les photos prises d’un objet en un modèle 3D représentant l’objet. Ce processus commence par déterminer les points caractéristiques de l’objet sur toutes les images (des coins de porte, sonnette, poignée…). Un logiciel de photogrammétrie associe un point caractéristique d’une image avec les autres points caractéristiques ressemblants des autres images (la poignée de l’image 1 sera associée avec la même poignée sur les images 8, 12 et 14 par exemple). Lorsque les points caractéristiques de l’objet (poignée) ont été réunis, on peut effectuer une projection dans l’espace 3D. Pour cela, on prend comme origine l’emplacement de la caméra. On lance un rayon qui traverse le point caractéristique et on détermine le point de croisement entre plusieurs projections d’un même élément caractéristique de l’objet.

schéma photogrammétrie projection drone professionnel chantier BTP

Suite à ce traitement, nous récupérons un nuage de points en 3D qui modélise l’objet. Grâce à ce nuage de points nous pouvons récupérer un objet « meshé ». C’est-à-dire un objet où l’on a plus un nuage de points, mais un ensemble de triangles reliant ces points.

Sécurité: 10 règles à suivre avant de piloter un drone

Sécurité: 10 règles à suivre
avant de piloter un drone

Nous vous présentons dans cet article 10 règles de sécurité pour bien vous préparer avant un pilotage et éviter tous risques inutiles car un crash est vite arrivé.

sécurité drone danger piloter

Pour voler en toute sécurité :

1. Vérifiez que vous avez le droit de piloter dans la zone où vous vous trouvez

Pour cela, rendez-vous sur carte interactive mise en place par la DGAC qui repère les interdictions et les limitations de survol de drone : Géoportail.

2. Vérifiez les réglages en cas de perte de signal entre la manette et le drone

Vous pouvez définir dans les réglages comment le drone doit réagir en cas de perte du signal. DJI a mis en place le mode Return-To-Home (RTH). Ce mode permet au drone de revenir à son point de décollage pour y atterrir automatiquement. Le pilote n’a pas besoin de toucher aux commandes, mais il peut dévier la trajectoire s’il est nécessaire. Si vous choisissez ce mode, n’oubliez pas de définir la position RTH avant de décoller.

3. Vérifiez que les capteurs de détection d’obstacles soient bien activés

De plus en plus de drones ont des capteurs de détection d’obstacles. Vous n’avez qu’à vérifier dans les réglages qu’ils sont bien activés.

4. Vérifiez que le mode de vol défini est celui que vous voulez

Certains modes de pilotage n’utilisent pas le GPS. Il est donc plus difficile de piloter un drone sans GPS, car il ne se stabilise pas. Pour éviter cela, il est préférable de choisir un mode stationnaire car il restera stable même si vous ne touchez pas les commandes.

5. Vérifiez l’état de la batterie, des hélices et des moteurs

Faites un contrôle de la batterie, vérifiez que la batterie:

  • ne fume pas
  • n’est pas gonflée
  • n’est pas chaude avant de l’utiliser. Dans le cas contraire, attendez qu’elle refroidisse un peu car vous pourriez la détériorer.

Même chose pour les hélices, faites un petit contrôle des hélices pour voir si elles ne sont pas cassées, tordues ou fissurées.

Contrôlez également les moteurs en les faisant tourner pour voir s’ils ne forcent pas.

6. Vérifiez le nombre de satellites détecté et la qualité du signal GPS

Vous pouvez observer sur votre écran de contrôle, le nombre de satellites que détecte votre drone. Il est déconseillé de décoller si votre drone détecte moins de 10 satellites car vous pourrez perdre le signal GPS de votre drone. Vous pouvez également observer la qualité du signal radio.

7. Vérifiez le pourcentage de charge de la batterie

L’idéal est de décoller à 100% de batterie pour pouvoir profiter pleinement. Mais si cela n’est pas possible, la limite minimale à ne pas dépasser est 30% de batterie. On est jamais à l’abri d’une perte de signal ou autre dysfonctionnement qui empêcherait un atterrissage.

8. Analysez l’environnement où vous pourrez piloter en toute sécurité

Observez rapidement la zone de pilotage et repérez les obstacles les plus hauts. Lors du pilotage, vous pourrez alors vous limiter à une hauteur de sécurité minimum pour être sûr de ne par percuter d’obstacles.

9. Vérifiez que le compas soit calibré

Le compas est un composant électronique qui permet au drone de se situer dans l’espace. Grâce à lui, le drone reste stable. Avant toute utilisation du drone, vous devez vérifier dans les paramètres si un calibrage du compas est nécessaire. Si, oui une petite manipulation sur le drone sera à faire, vous n’avez qu’à suivre les indications.

10. Vérifiez que vous n’êtes pas placé face au vent

Nous ne sommes jamais à l’abri d’un dysfonctionnement. Donc avant de décoller, mettez vous dans une zone en sécurité. Il est préférable de ne pas se mettre face au vent pour ne pas voir le drone se diriger sur vous en cas de problème de composants.

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Pilote de drone: Comment devenir professionnel ?

Pilote de drone: Comment devenir professionnel ?

Pour devenir pilote de drone professionnel, il est obligatoire d’obtenir une Déclaration de Niveau de Compétence (DNC) qui sera délivré par l’exploitant. Puis le futur pilote de drone devra passer le Brevet théorique Ultra-Léger Motorisé (ULM) dans un centre d’examen de la DGAC.

 

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Le pilote de drone doit obtenir une DNC (Déclaration de niveau de compétence)

 

Ce document atteste que vous avez suivi un programme de formation pour devenir pilote de drone professionnel. Dans ce programme de formation, apprenez  la réglementation des drones en France, les règles de sécurité à suivre lors du pilotage d’un drone, les démarches qu’il faut faire pour effectuer un pilotage dans une zone « interdite », mais le plus important: vous apprenez à piloter un drone.

 

Pour avoir ce document, 2 solutions s’offrent à vous:

 

  • Vous pouvez vous former tout seul avec des tutoriels sur internet et beaucoup de documentation. L’exploitant n’aura ensuite qu’à vous délivrer une DNC une fois qu’il aura évalué vos compétences pratique et théorique. Mais je vous déconseille cette solution, car c’est le meilleur moyen de prendre de mauvaises habitudes de pilotage. En plus de ça, vous trouverez parfois tous et n’importe quoi sur internet. Ce serait comme passer l’examen du permis de conduire sans passer par une auto-école ! C’est aussi le meilleur moyen de prendre des risques inutiles: vous blesser ou crasher votre drone.
  • Deuxième solution, vous pouvez passer par une entreprise qui propose une formation de drone pour les professionnels. C’est ce que propose Prodroner avec la formation Droner. L’intérêt de choisir la solution de la formation en dépit de la solution « autodidacte », c’est d’être accompagné par un expert qui connait toutes les facettes du drone. Il pourra être plus clair que la documentation trouvée sur internet. J’ai eu la chance de participer à cette formation et je vous invite à lire la suite d’articles que j’ai rédigés pour la présenter. Cette formation dure une semaine et est divisée en une partie pratique et une partie théorie. Un examen est organisé en fin de formation valider l’acquisition des compétences. L’attestation de formation fournie par l’organisme de formation, permettra à l’exploitant de délivrer une DNC pour son pilote.

Le pilote de drone doit obtenir un Brevet Théorique ULM

 

 

Le brevet théorique ULM vous permettra d’acquérir les connaissances nécessaire en navigation, réglementation, pilotage… L’examen est sous forme de QCM où vous aurez besoin 75% des 40 questions pour obtenir votre brevet théorique ULM. Vous pouvez vous inscrire vous même dans le centre d’examen le plus proche de chez vous : trouvez votre centre d’examen.

 

Comme la DNC, vous pouvez soit vous former seul sur internet, soit vous former par le biais d’une entreprise qui propose une formation pour le passage du brevet théorie ULM. Il existe beaucoup de documentation, que ce soit sur internet ou dans les livres.

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