Formation Droner, Jour 2: perfectionnement des connaissances

Formation Droner, Jour 2:
perfectionnement des connaissances

Voici la suite de la formation Droner à laquelle j’ai pu participer. Je vous présente la deuxième journée, si vous n’avez pas lu l‘article du Jour 1 de la formation je vous invite à le découvrir.

 

Formation Droner : Jour 2

Mise en Pratique

Nous commençons la journée par de la pratique et nous voyons nettement les progrès que nous avons fait depuis hier. Les exercices de la veille sont beaucoup plus facile à faire: contournement d’obstacle, faire un tour à 360°, atterrissage… Une fois que nous maitrisons un exercice, nous devons le refaire avec les commandes inversées (l’avant du drone est derrière et l’arrière est devant). C’est beaucoup plus dur de contrôler un drone avec les commandes inversées, mais il est important de savoir le faire en cas d’urgence. Gautier nous l’explique dans l’une de ses vidéos:

Perfectionnement de nos connaissances théoriques

Nous nous dirigeons ensuite dans la salle de formation pour la partie théorie. Aujourd’hui nous apprenons quelles sont les limites de la portance d’un drone. La portance d’un drone est ce qui lui permet de rester dans les airs. Il s’agit d’une pression qui agit sur l’aéronef. Plus précisément sur les hélices pour les voilures fixes et sur les ailes pour les voilures tournantes.

C’est une partie était très intéressante car nous comprenons enfin comment fonction une drone, que ce soit une voilure fixe ou tournante.

formation droner prodigo pilote de drone

 
Les intempéries

Nous nous intéressons ensuite aux intempéries pour savoir dans quelles conditions il est déconseillé de piloter un drone. Sous la pluie, dans le brouillard ou dans les nuages, les capteurs peuvent être endommagés avec l’humidité et causer un crash. Cependant en cas de petite chute de neige, il est possible de piloter un drone, car les flocons n’ont pas le temps de toucher le drone grâce à l’air qu’il propulse.

Il faut également penser aux tempêtes géomagnétiques causées par le soleil, car elles peuvent brouiller le contact entre la manette et le drone. Ces tempêtes géomagnétiques sont invisibles à l’œil, il faut donc chercher sur internet l’indice Kepler qui permet de savoir à quel niveau est la tempête. Au-delà de 5Kp il est déconseillé de piloter.

 

Les modes de pilotages

Pour finir, nous avons découvert les modes de pilotage du Phantom. Il existe des dizaines de modes de pilotage: le Return-To-Home, le Waypoint, le Point of interest, l’atterrissage et le décollage automatique, le Course Lock, le Home Lock, le Follow Me, le Draw Me…

Nous choisirons le mode de pilotage en fonction de l’usage de l’utilisateur:

  • Fabien qui est paysagiste aura besoin d’utiliser le mode Waypoint pour faire de la photogrammétrie. Ce mode permet de programmer un circuit que le drone reproduira automatiquement. Grâce à ce mode, il pourra se focaliser sur le cadrage de ses photos.
  • Clément est cadreur, le mode de pilotage qui est le plus intéressant pour lui est donc le Course Lock. Ce mode lui permet de verrouiller une course, peu importe l’orientation du drone. Il peut donc effectuer des travelings.

Demain, pour le troisième jour de formation, nous verrons une partie de la réglementation des drones en France. Puis nous verrons comment préparer un drone avant un pilotage (réglages, mise en place des hélices et de la batterie…). Nous piloterons sur le simulateur de l’application DJI GO 4. N’hésitez pas à poser vos questions au sujet de la formation Droner dans l’espace commentaire.

 

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