Author: Prodigo

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Prix d’une topographie par drone: est-ce moins cher ?

Prix d’une topographie par
drone: est-ce moins cher ?

Prix d’une topographie classique vs drone

 

Pour une topographie classique réalisée par un géomètre, il est courant d’utiliser un GPS à la précision centimétrique. L’opérateur va de points en points de référence, et note les éléments d’intérêt sur un terrain grâce aux coordonnées GPS. Cette méthode prend du temps, surtout sur de grandes surfaces (plusieurs hectares).

La topographie par drone se déroule avec un ou plusieurs vols, et prend les informations depuis le ciel. Le traitement des images en post-production, permet de créer une vue aérienne similaire à Google Map, qui peut être précise au centimètre. Cette méthode est rapide (une demi-journée), ce qui permet d’économiser sur le temps nécessaire à une personne pour réaliser la topographie.

Le coût d’une topographie par drone est donc naturellement inférieur à celui d’une personne sur le terrain. De plus, il arrive fréquemment qu’une deuxième personne soit nécessaire pour prendre les relevés, là où un opérateur pilote de drone professionnel est autonome.

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Topographie par drone: quels résultats ?

 

Les résultats varient selon le besoin du client, et peuvent aller jusqu’à une précision centimétrique (+/- 1 centimètre). Tout dépend de l’altitude de vol à laquelle le drone a opéré. C’est pour cela qu’il est important pour notre entreprise de comprendre pourquoi la topographie va être utilisée, pour vous proposer le meilleur ratio qualité/prix pour votre chantier.

Nous faisons aujourd’hui des topographies très précises sur de petites surfaces (1 hectare), comme des topographies avec une précision moins importante (15 centimètres) sur de très grandes étendues. Le drone ne peut par contre, très logiquement, faire des relevés de réseau au sol, comme par exemple la profondeur de réseaux d’eau.

 

 

Dans quel cas utiliser la topographie par drone

 

Le drone est parfait pour défricher un projet rapidement, à moindre coût, ou réaliser des projets sur de grandes étendues. Réalisant une topographie précise et rapide, il permettra de démarrer des études en préprojet en mettant en jeu un coût moindre dans les premières étapes d’études d’implantations. La topographie par drone vient en complément, et non en concurrence des géomètres et topographes. Là où les clients se débrouillaient avec les moyens du bord pour réaliser leur préétude, ou devaient débourser de grosses sommes sur les projets sur de grands terrains, le drone devient une alternative très pratique.

Le plus du drone ? Les topographies peuvent être couplée avec une orthophotographie (comme sur l’image de l’article), qui permet une lecture beaucoup plus aisée du plan.

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DJI Mavic Air 1
Actualités

DJI Mavic Air: toutes les rumeurs et photos divulguées avant sa sortie

DJI Mavic Air : toutes
les rumeurs et photos
divulguées avant sa sortie

Vous l’attendez peut-être comme un enfant attend la veillée de Noël, c’est demain la sortie du nouveau produit de DJI. Vous avez surement déjà vu le teaser vidéo, qui l’annonce pour le mardi 23 janvier 2018 à 16h00 heure française. Et tout porte à croire selon les rumeurs qu’il s’agirait du:

DJI Mavic Air

Le nom est quasiment déjà certain, car sur le site internet de DJI, n’importe quelle URL revoit normalement vers une page 404. Vous pouvez essayer avec www.dji.com/mavic-2 par exemple.

Or l’URL www.dji.com/mavic-air renvoyait jusqu’il y a peu, vers la page d’accueil du site internet. Comme si la page était prête à être publiée dès l’annonce. Nous utilisons le passé, car apparemment dès que l’information s’est sue, ce lien s’est remis à pointer vers une page 404. Quelqu’un a du se faire taper sur les doigts chez DJI !

C’est un premier indice sur le type de machine qui va sortir demain. Mais depuis quelques heures, on a encore mieux !

Les fuites photos du DJI Mavic Air

Les sources se croisent et se ressemblent: on dirait bien que l’on tient ici en photo l’appareil qui va nous être présenté demain.

La cerise sur le gâteau, c’est un cliché (2ème photo ci-dessous, en chinois) nous permettant de voir les fonctionnalités mises en avant:

  • Panorama « sphérique » en résolution 32 mégapixels
  • Bras pliables
  • Vidéo en 4K
  • Nacelle stabilisée sur 3 axes (serait-ce un axe logiciel comme pour le Spark ? Nous espérons que non, mais la nacelle ressemble beaucoup à celle de ce dernier)
  • Capteurs de collisions avant ET arrière, couplé avec un système de VPS sur le dessous de l’appareil, équipé de 2 caméras et 2 capteurs à ultrasons
  • Contrôle de l’appareil à partir de gestes (même si, chez Prodigo, nous ne sommes pas vraiment fan de la fonctionnalité après avoir failli nous faire décapiter dans ce mode)
  • 21 minutes d’autonomie de vol (on croit deviner 2580 mAh sur l’une des photos)




Un drone portable et performant

Nous avons vraiment hâte de tester cet appareil, qui semble sur le papier à la fois facilement transportable, tout en ayant des caractéristiques de prise de vue intéressantes. Ayant l’habitude de la qualité d’image de nos Phantom 4 pro, la seule vraie question en suspens est de savoir si elle restera au niveau du Mavic Pro, ou si elle évoluera positivement.

Mais qui sait, nous ne sommes peut-être pas à l’abri d’une bonne surprise avec la mise à jour du capteur du Mavic Pro en même temps ?

Les prix semblent être annoncés entre 700 et 900 €, mais nous miserons moins sur ce sujet-là de la qualité de nos sources.

Les paris sont ouverts !

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Test exclusif: l’immersion FPV 3D en numérique

Test exclusif: l’immersion
FPV 3D en numérique

L’équipe de Prodigo a eu la chance de tester pour la première fois au monde (oui oui, n’ayons pas peur des mots), une solution innovante pour améliorer l’immersion FPV en 3D grâce à un flux numérique. Mais que veulent dire ces termes bien barbares ?

Le FPV par drone

Le FPV (First Person View, ou vue à la première personne), veut dire tout simplement que l’on voit ce que voit le drone, comme un pilote d’avion qui serait dans son cockpit. Le retour vidéo peut être diffusé soit sur un écran, ou plus généralement dans des lunettes spécifiquement dédiées, qui permettent une meilleure immersion. Aujourd’hui, la plupart des drones utilisent un flux vidéo analogique (comme nos vieilles télévisions) pour permettre une latence minimum. Autrement dit, sans traitement numérique, on évite d’avoir un décalage entre ce que l’on voit, et la position réelle du drone. Pourquoi est-ce que c’est important ? Et bien par exemple, pour éviter un arbre qui arriverait bien trop vite sur notre drone. Ou l’inverse. Et ça ressemble à ça:

Le FPV 3D numérique

Nos voisins d’Anemos Technologies travaillent dur pour améliorer la qualité de l’image de ces systèmes, et ils ont décidé de passer en numérique (pour garder la comparaison avec la télévision, c’est comme si vous passiez en TNT). Et pour plonger encore plus le pilote en immersion dans l’image qu’il reçoit, ils ont installé 2 caméras, pour simuler la 3D de nos yeux, directement sur le drone.

Alors, qu’est ce que ça donne ? On ne vous en dit pas plus, et on vous laisse le découvrir en vidéo sur la chaine youtube de Gautier Veltri !


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